Ouverture de la taverne

suffit d'ouvrir une taverne, je suis très bien en taulière quand c'est moi qui décide, suffit de voir chez les centaures, veux bien le faire ici aussi

fait péter un nouveau tonnelet, se demandant comme elle a réussit à en piquer autant chez les nains sans qu'ils s'en s'aperçoivent

Nog si tu continus à piller chez les nains, ils vont l'avoir mauvaise...

Tu veux pas plutôt que j'aille faire une descente dans la cave perso de vété? J'ai omis de lui dire que j'avais toujours un double ^^

voui vas-y, dis donc, t'as déjà les clefs de la cave de Che'Hina twa!!!!!


Allez zou j'enfile mon tablier magique et fais sauter les bouchons,

Bienvenue à tous!

Yipiiiiiii taverne ouverte! ^^

Allez vété m'a bien appris a faire le service, alors je vais vous montrer! XD

S'approche de Mage et dépose une chope vide avec un air mutin

Et tu veux quelque chose dedans peut être?

Faucon salua la prêtresse qu'elle avait croisé dans divers endroit sans avoir vraiment eut le temps de papoter puis se retourna vers Anog nouvellement tavernière avec un regard interrogateur

Tu crois qu'il y a du lait fraise dans les parages? Rien de lacté dans les caves de vété en tout cas...

Quelqu'un à un centaure sous la main qu'on essaie de le traire pour voir?

Hannibal arriva à la porte de la taverne récemment ouverte. Il se dirige vers le bar et essaie de trouver une place entre Gwen et Mage noir.

Faucon fine lame, je ne veux pas vous blesser mais les remarques sur nos futurs alliés sont elles vraiment raisonnables surtout dans un lieu tout public.

Laissa un silence se poser, pour lança :

Et pour ma part ca sera de l'hydromel non alcoolisée.

Faucon fit un grand sourire à nog pour qu'elle s'occupe de remplir les verres puis répondit à Hannibal quant à sa remarque

Il n'y a pas de raison que votre remarque soit blessante, j'aurai pu proposer de traire un elfe aussi mais faut avoir du courage pour y arriver...

Ne présumez pas des alliances que nous pourrions faire, rien est acquis et les centaures ont pris pour chef des personnes qui sont assez raisonnables pour ne pas faire passer leurs intérêts personnels avant l'intérêt collectif.

Nous nous connaissons guère, mais ceux qui ont déjà eut droit de prendre part à mes plaisanterie savent qu'il n'y a rien d'irrespectueux dans mes paroles, d'autant que si je me le permet c'est que la personne qui en fait l'objet n'y voit pas d'inconvénient, y est habitué et me le rend bien...

Je m'excuse si mes paroles vous ont choqué, dans un lieu tel qu'ici j'ai toujours pour habitude de voir les plaisanteries de mise, mais je me restreindrai à les formuler là où je serai certaine quelle ne causeront nul préjudice...

sensation brusque d'être dans un train fantome

LA sauvage était entrée, silencieuse elle avait grmacé en voyant la tavernère, puis elle s'était installé au bar comme a son habitude.
Elle suivait la scène de ses yeux ambre, prête a bruler quiquonque l'offenserait d'un geste ou d'une parole

"De l'hydromel, Anog, un bon vieu hydromel."

Sa voix avait resonné quelque instants, habillée en guerrière elle arborait quelque peinture sombre sur le visage, de straits effilés qui la rendait plus belle peut-être mais surtout plus dangereuse encore d'apparence. Elle avait decouvert cette usage sur certaines amazones et en avait pris l'idée pour la transformer à son idée, maquillée comme une sauvage, elle n'en semblait que plus louve, agressive elle montrait déjà ses dents ......

La haute silhouette du vieil elfe pénétra enfin dans la taverne de l’Elfe Joyeux. Il avançait lentement, son bâton de prêtre l’aidait à marcher.

D’un caractère plutôt, taciturne, et solitaire, il pénétrait rarement dans ces lieux de débauche. C’était un ermite, préférant plus le contact avec la nature que la présence des êtres vivants.

Il s’approcha du comptoir. Il fit un signe de la tête en direction de Mirahil, et esquissa un sourire en regardant Anog.

Bonjour Anog, un hydromel s’il te plait. La taverne semble bien vide, et ne porte pas très bien son nom. Tout est très calme ici. Ce n’est d’ailleurs pas pour me déplaire, je n’aime pas le bruit.

Une jeune femme était entré dans le bar, le visage couvert de peintures de guerre on aurait dit une amazone des temps anciens.



Encore une fille de bourgeois, ou d'aristocrate en mal de sensations qui cherche à se donner des émotions fortes en jouant les jeunes rebelles. Gwenwyfar se demanda dans quel vieil almanach illustré elle avait été pêché ses peintures.

Gwenwyfar sourit, elle avait déjà vu débarquer dans sa citée des jeunes femmes de cet accabit, bien sûr confrontées à la réalité elles n'étaient pas restées très longtemps.

Celle-ci semblait néanmoins un peu différente, intriguée Gwenwyfar se présenta à elle.

Bonsoir, je suis Gwenwyfar, reine des Amazones de Sarwyen, par votre allure il me semble que vous êtes une de nos cousines Sauromates, je me trompe ?

La haute silhouette du vieil elfe pénétra dans la taverne. Il avançait avec peine, son bâton de prêtre l’aidait à marcher. La sagesse des ans habitait son être abîmé d'une grande noblesse. A sa démarche et à la manière qu'il eut de détailler le petit monde de l'elfe joyeux, je devenais qu'il était plus aguérrit pour l'étude et la diplomatie que pour les affres éthyliques du lieu.. De toute évidence l'homme parlait peu mais pensait beaucoup. Il mesurait ses paroles au degré de sa réflexion.
Il s’approcha du comptoir. Esquissa un sourire, ses yeux étaient vifs et profonds.
Je le regardais avec attention, dévisageant son faciès de vieillard qui n'était pas sans m'évoquer le Mestre... Mon pauvre mestre...

"Bonjour Anog, un hydromel s’il te plait. La taverne semble bien vide, et ne porte pas très bien son nom. Tout est très calme ici. Ce n’est d’ailleurs pas pour me déplaire, je n’aime pas le bruit."

Le tutoiement me surprit, mais il était pour moi le garant de la confiance qu'il devait m'accorder.
Je lui rendais son sourire et lui tendis un verre d'hydromel ainsi qu'à ceux qui me l'avaient mandé.
J'inclinais la tête en signe de respect devant le sage qui n'avait pas l'air très à l'aise dans ce lieu d'opprobre.
Je me servais un verre à mon tour et le levais devant lui tapant le sien avec douceur.
Avalais une gorgée ne le lâchant pas des yeux, cherchant à déchiffrer ce que son regard cherchait ainsi avec attention.

"Je suis enchantée de vous voir en ces lieux Yann, dont j'apprécie moi aussi le calme soudain, mais je doute qu'il dure, ce n'est pas le propre d'un tel lieu. Et il est bon parfois d'entendre des voix que l'ont ne connait ...."

J'eus à peine le temps d'achever.

La voix de Mirahil éclata près de moi. Mes yeux se fermèrent une seconde. Mon visage durcit, je sentais ma machoire se crisper.
Un grognement échappa, que j'étouffais aussitôt .

"Anog cet hydromel ?"

*Arrêtes de mordre Mirahil quand tu n'es pas à l'aise...*

J'échangeais avec elle un regard éloquent et froid signifiant qu'il serait bon qu'elle adopte un ton plus propice à la conversation dans un lieu public, au risque de s'exposer à quelques désagréables semonces de ma part quand nous serions de retour au Royaume.
Je saluais avec joie Gwenwyfar que j'étais heureuse de revoir, sachant que sa vielle amitié avec mon clan lui ferait aisément comprendre et excuser la nervosité des miens dont le caractère incendiaire n'était plus à conter.... ( )

Au ton de la jeune femme et à ses brusques changements d'humeur, c'était soit une véritable sauvage soit une folle, Gwenwyfar opta pour la seconde solution car une sauvage n'aurait pu s'exprimer comme elle l'avait fait.

En habits de richesse moi !! Vous me flattez, je ne pensais pas que ma tenue pourtant simple soit si révélatrice de mon rang. Mais quoiqu'il en soit me vêtir comme une princesse ou une reine avec des robes de dentelles et de taffetas ne me siérait guère contrairement à vous gente damoizelle.

Certes les Amazones ne sont plus ce qu'elle étaient, le monde change et avec lui nous avons changé, nous ne sommes plus ces guerrières impitoyables qui tuaient ceux qui avaient le malheur d'être nés du mauvais sexe.

Jadis nous luttions pour notre survie, maintenant que notre peuple est reconnu et respecté à l'égal de autres nations, que nos mâles acceptent notre pouvoir quel besoin avons nous de tuer sans raison ceux qui sont nés du mauvais sexe.

Guerrières nous le somme toujours, mais femmes aussi, femmes qui donnent la vie et luttent pour la préserver. La menace contre notre peuple a changé de visage, de mâle elle est devenue mal et c'est désormais l'objet de notre lutte.

Quoiqu'il en soit, enchantée de faire votre connaissance Mirahil.

Caffreen n'était pas habituée des tavernes, en général ces endroits étaient mal fréquentés, puants et dégoûtant. Pourtant cette fois-ci elle poussa la porte en confiance. On ne lui avait pas menti, le panonceau qui se balançait au gré du vent annonçait "A l'Elfe Joyeux" et c'était le cas. A l'intérieur tout respirait la bonne humeur, l'aura des elfes présents rayonnait, sans doute ne la voyait ils pas eux même, mais ce festival de couleurs chamarrées dansait autour d'eux, se mélangeant, se liant, ne faisant qu'un. Il existait bien un esprit elfe commun, la preuve était là. Caffreen souriait à l'entrée de la taverne, ses yeux verts regardaient l'ensemble des clients dans une curiosité non dissimulée. En confiance elle entra, sa soeur jumelle Faera ne la suivait pas, mais sans doute n'était elle pas loin.

Elle alla vers le comptoir et demanda à la serveuse :

"Bonjour ma belle, euh... Pourrais-je avoir une liqueur d'orange ?"

Même si je suis un centaure,je vous encourage les elfes! Ma présentation rp:

Un jour,une femme centaure,enceinte,et démunie de ses moyens,traversais les sentiers qui entourais la rivière Hawki,elle avait terriblement mal au ventre,et tout d'un coup,une poussé,très forte,l'aida à faire sortir un magnifique petit centaure,qui était le fruit de la passion entre elle et son époux ..

-Tu est magnifique,mon jeune fils,mais je ne peut te garder encore longtemps,je ne veux point te perdre durant cette guerre entre les Félys et les Centaures,je t'aime éperdument,mais je dois te laissez libre,à tout jamais ..

Ainsi elle déposa le dernier souffle de vie qui lui restais,à travers la rivière Hawki,son petit Pento Clisor,jeune centaure pauvre ..

Mais par chance,le petit centaure,dans son panier de bois,vêtue d'une simple douillette,fut recueillis par une créature qu'on appelait "Vipères des rives",et c'est ainsi que le jeune centaure,grandis auprès d'une jeune bestioles ..

Mais un beau jour,en marchant sur le sentier perdu dans la forêts Houbakan,il rencontra une lueur,qui vite se transforma en une dame,avec le regard froid,le jeune centaure tenta de s'éloigner,mais la femme au regard sombre,pris la parole...

-Pentaclis ..

Pentaclis?Le jeune centaure se demandais d'où elle le connaissait par se nom,car seul ses rêves le menait à s'appeler lui-même Pentaclis ..

-Pentaclis,jeune centaure,tu est né pour vivre dans une destinée macabre et dolente,et je vais faire en sorte que tu t'en rende compte!

Sans même avoir pu glisser un mot entre ses dents,une lumière aveuglante se précipitât hors des yeux de la femme,et il s'endormit,pour fort longtemps ..

En se réveillant,il se trouvait sur des terres argentées,avec une pancarte de bois qui inscrivais "Sarwyen" ..

Germidi qui était arrivée sans qu'on s'en apperçoive avait suivi la scène avec beaucoup d'attention, à tel point qu'elle en avait oublié qu'elle était pleine de poussière de cendre et sa chevelure parsemée d'araignées.

Salutations à tous, pardonnez-moi pour ma tenue, je m'était endormie dans une grotte.
Pourriez-vous, s'il vous pliat, Madame la tavernière me servir une double pinte bien fraîche de votre bière ?
Je vais tout de suite m'arranger.
Où sont les toilettes ?